Jack Karmer est là... [Validé]

Who is your character?
Partie rpg

«« Moi, moi, moi ; Jack » »

Le soleil c’était lever depuis peu, bronzés et propre sur moi, je levai d’un petit coup le gamin des écuries, jeune avec une bouille d’ange, il avait souvent tendance à roupiller plus longtemps qu’il ne le devait. Je ne pouvais pas l’en blâmer non plus, puisque c’était rare que moi-même je me lève à cette heure.  Cependant, aujourd’hui était un jour pas comme les autres. Je n’avais vraiment pas envie d’y aller, cela me faisait extrêmement chier si vous voulez tout savoir mais avais-je le choix ? Depuis peu, j’étais devenu assez célèbre dans mon milieu et ils avaient donc retrouvés ma trace. Quelle chance ! Tremblant, le môme me tendit ma jument hongre et je la lui mis d’un mouvement sec. Je n’allais pas le bouffer non plus !
-Un peu d’assurance bonhomme, tu ne t’en sortiras jamais si tu agis comme un soumis !
Je parlais en toute connaissance de cause…

***FLASHBACK***

-Jack ! Jack ! Viens donc ici ! Aujourd’hui est un jour important pour ton père, tu dois donc t’habiller convenablement.
Droite, sévère ma chère mère me regarde de haut, quoi de plus facile quand on s’adresse à un enfant de cinq ans. Il est petit ; lui mais pas le monde. Pris de force, on me déshabille sans ménagement, ici, l’ambiance n’est pas aux caresses et aux bisous affectueux et même si je le savais, je ne pouvais m’empêcher de désirer ces petits plus qui faisait la différence entre son enfant et une simple servante, mais non. Laïla m’habille, elle est gentille ; elle ! Douce dans ces gestes et avec sa peau surtout. Ma mère lui demande de ce hâté et elle le fait tout en étant toujours douce avec moi. Laïla c’est mon amoureuse. Parfois quand je le lui dis, elle rit et m’embrasse sur le front. La porte claque, ma mère est sortie ne pouvant plus rester sur place une seconde de plus. Tant mieux… Je voulais un bisou. Laïla finit de me préparer avec patience et après avoir mis de l’ordre dans mes cheveux long et boucler, elle me prend dans ces bras et c’est avec désespoir que je me nichais dans le creux blanc et pur de son cou.
-C’est partis, Jack. Tu vas être sage aujourd’hui même si ton papa t’humilie. Ne l’écoute pas, tu ne ressembles pas à une fille mais à un ange tomber du ciel.
-Oui, Laïla. Je sais. Avez-vous réfléchis à ma proposition ? Vous savez celle de vous mariez avec moi !
-Oh mon petit Jack… Allez zout, zout ! Vas ! Sans courir, bien-sûr !

***FLASHBACK***

Le vent fouette mon visage pendant que je lance la jument au galop. Le voyage ne serra pas long, je le sais parfaitement. Petit, j’avais souvent fait de nombreux voyage entre l’extérieur et l’intérieur. L’extérieur c’était la tranquillité et l’intérieur la tempête !

***FLASHBACK***

-Jack Karmer, reviens ici avant de le regretter !
-Il en est hors de question père. Je pars pour la nuit, malgré vos interdictions. Je ne suis plus un enfant.
-Ose sortir petit avorton et je te jure…
Je sortis. Je connaissais son refrain par cœur. Je te jure pauvre insolent que la porte ne te serra plus ouverte ! Changez père…

***FLASHBACK***

J’arrive devant la bâtisse. Et la porte s’ouvre sur une femme avec des cheveux devenus légèrement beaucoup plus blanc qu’avant. Leïla… Elle met sa main devant sa bouche et je peu déceler une larme dans ces yeux.
-Jack…
Je lui souris gentiment avant de lui faire un baise main galant. Elle m’ouvre la porte en riant avant de me faire marcher dans les couloirs toujours aussi finement décoré.
-Sa n’a pas changé depuis tout ce temps…
-La maison oui, la vie si. Quel homme es-tu devenu ! J’entends parfois parler de toi et je ne peu m’empêcher de ressentir une certaine fierté dans le fond de mon cœur.
-Tu le peu, tu m’as énormément aidée !
-Oh ! C’était normal, mon ange ! Nous y voilà. Vos parents vous attendez.
Elle ouvre doucement la porte et m’annonce. Ma mère ce lève d’un bon et viens m’accueillir avec  un sourire devenue plus chaleureux qu’avant, mon père quand à lui rester dans sa chaise, pâle. Je fronce les sourcils mais je n’ais point le temps de répliquer, qu’une jeune femme arrive. Elle est essouffler et très jeune. Elle s’avance vers le vieux et pose sa main sur sa joue, il lui sourit faiblement.
-Je vois que tu ne m’en veux plus, ma petite Roxanna…
-Père…
-Je voulais m’excuser mon enfant, mes enfants. Roxanna, Jack je voulais vous présentez mutuellement ton frère pour toi ma douce et ta sœur pour toi… Jack. Je vous ais à tout les deux fait vivre un enfer… Jack… Pardonne-moi de toute ma cruauté à ton égard… Qu’elle ironie, il me faut être aux porte de la mort pour me rendre compte à qu’elle point je vous ais fait souffrir. Je suis fier des voix que vous avez prie. Jack tu es devenu un homme incroyable et puissant, cette robe te va à merveille, mon mage… *Une toux grâce l’oblige à s’arrêter* Et toi, Roxanna ! Qu’elle femme oui ! Une armure, tu as grandi ! Prenez soin de votre mère car me voilà mourant.
La fameuse Roxanna ce jette au cou de père et l’embrasse doucement sur la joue. Je suis complètement à l’ouest, ne comprenant rien à c’qui m’arrivait. Mon père allait mourir même si malheureusement pour lui cela ne m’affecter nullement et je me retrouvais avec une jeune frangine. Il était vrai que je m’étais vite cassé de la maison même un peu trop tôt justement ! Ce style de truc n’arrivait qu’à moi sérieusement !

«Sexy»

Beau, charmant, plaisant, virile, séduisant, ça c’est tout moi ! Oui, mon égo va très bien mais au fur et à mesure de mes conquêtes j’ai eu tellement d’adjectif pour me qualifier que j’aime les garder. Je suis grand, dans les un mètre 80/85 et heureusement, les petits c’est pathétique ! Regarder mon domestique, petit, chauve tu as plus envie de lui mettre un coup de pied au cul pour qu’il aille plus vite que de lui faire des bisous et par la suite lui faire l’amour ! J’ai des muscles, énormément de muscle, je pense bien que c’est grâce à cela que j’ai des multitudes de fille qui me tourne autours comme les planètes autours du soleil. J’ai continuellement et toujours un air de dédain sur le visage ou un sourire au coin. Je suis brun de cheveux et marron d’œil. Je ne me rase jamais bien complètement. Le pourquoi du comment est très simple, c’est long et ça me fait bien trop une gueule d’ange ce que je hais !

«Solitaire»

Droit, c’est ainsi que l’on me voit en société. D’après d’autre je suis aussi arrogant, détestable et un monstre. Je suis honnête dans tout les sens du terme, une femme je la jette jamais dans la dentelle. Je n’ais pas que ça à faire et c’qui s’applique aux femmes, s’applique aussi aux hommes pendant des discutions. Ne venez pas si cela vous dérange, cela ne me pose aucun problème. Ironique ? Comment ne pas l’être ! C’est tellement jouissif de voir le visage de ces petits bonhommes gras devenir rouge ! J’aime, j’aime, j’aime. Mon caractère est vaste et varié. Globalement, je suis froid. J’ai du tramer pour en arriver la où j’en suis et je ne le dois à personne ! Je suis solitaire, la compagnie me cassant plus les burnes qu’autre chose !  Vous ne m’aimez pas, tant mieux ! Adieu.