Une découverte majeur [PV : Aryane]

Messages : 11 Date d'inscription : 30/07/2013

-Il me faut quelqu’un maintenant ! Je veux voir le roi ou la princesse ! Vite !

-Oula, calmez-vous ma dame, le roi est pris malheureusement… Revenez plus tard et dans un meilleur état que celui-ci.

En effet, l’historienne faisait peine à voir, ses cheveux de feu était en pétard au-dessus de sa tête dans des bouclettes désordonnées. La pauvre était obliger de bougeait la tête pour empêcher une mèche de cacher son visage alors qu’elle essayait de se débarrasser du soldat. Son visage habituellement blanc comme neige était rougis à cause du soleil refaisant ainsi ressortir des taches de rousseur dont elle ne savait même pas l’existence. Cependant, il n’y avait pas que cela ! Sa belle robe était déchirée de partout, sale et couverte de poussière. Les hommes qui l’accompagnaient, eux, avait beaucoup plus fier allure qu’elle, pour dire ! A cette remarque, Gwendoline rougit d’avantage et dévia timidement le regard. Qu’elle audace avait-elle eu ! C’était indigne d’elle ! Honteuse, elle s’apprêtait à courber l’échine et partir, oubliant par la même occasion son incroyable découverte, quand, du coin de l’œil, elle aperçut la jeune princesse passer rapidement dans le couloir royal. C’était son jour de chance ! Elle sourit et de toute sa voix, hurla comme jamais elle avait fait auparavant.

-Majesté ! Majesté ! Je vous en pris, ici ! Je suis historienne et mon nom est Gwendoline… Je… J’ai fait une découverte dès plus incroyable ! Majesté !

Les mots étaient venus d’eux-mêmes, la timidité habituelle de la jeune femme avait disparut au profit de sa passion, ainsi elle était prête à tout. Son bonheur fut immense quand d’un signe de tête de la princesse, les gardes reculèrent pour lui faire un chemin. Elle poussa un petit cri enjouait et passa devant les soldats avec le menton haut. Elle leur avait bien dit qu’elle était ici pour une urgence, non mais ! Alors qu’elle arrivait à l’hauteur de la jeune femme de sang royal, elle fit une profonde révérence à celle-ci et à peine était-elle redressait qu’elle reprit immédiatement la parole.

-Oui, majesté. Une découverte incroyable, éclairant ainsi certaine de nos questions sur le passé. Sur, avant ! Il y avait d’autre humain, majesté ! Ils sont passés fugacement mais ils sont venus ici ! Ils sont différents de nous ! Des reliques différentes des notre le prouve. La relique ! Je vais vous la montrer ! Tout est dessus, ils sont d’ailleurs ! La relique dit où ! Enfin pas tout à fait ! Mais une partie ! Où est-elle justement ?`Oh non, non, non, je l’ai laissé sur place ! Oh majesté, c’est extraordinaire ! Je… Il faut la déchiffrer ! Par tout les moyens ! Il n’y a pas que nous ! Pas que nous ! Il n’y a pas que des perles ou des cendres ou des brigands, ou, ou, tout se qu’on connaît déjà ! Il faut partir à leur recherche en décryptant la relique !

Gwendoline bougeait de partout, ses mains n’était qu’hombre tellement elle passait vite lors des explications incompréhensible de la jeune fille, elle tournait en rond, criait presque de plaisir. Jamais, elle n’avait eu cette sensation en elle. Son bonheur était au sommet de l’extase !

-On la découvert par hasard. Mes hommes creusés comme des bêtes, il va falloir les remercier même ! Donc oui, oui, ils creusaient les pauvres hommes ! Gwendoline mimait enjoué et sauta en disant : Et bang ! Ils tombent sur un truc dur ! Alors je viens, je cours même, je finis de creuser avec eux. Mes calculs étaient bons ! Il y avait une relique décrivant des histoires différentes de notre peuple ! Mais je n’ai pas prise la peine de lire plus ! Je devais prévenir quelqu’un ! Il faut écrire cette découverte dans un livre ! En créer un, même ! Oh majesté, c’est fabuleux ! Fabuleux ! Et donc, donc j’ai pris des chevaux frais et avec des hommes à moi, on est venu aussitôt ! Oui, oui aussitôt ! Je vous dit pas comment j’ai mal à l’échine à force d’avoir galopée comme une furie ! Mais, maintenant, il faut mettre d’autres historiens sur cette relique ! Je n’ai malheureusement pas assez de connaissance ! Je suis trop jeune ! Il en faut un bon majesté ! Oh mon dieu ! Une autre civilisation ! Une autre vous dis-je ! Ô il faut que je respire.

Sur ces mots, l’historienne agita énergiquement sa main devant son visage en feu. Elle avait l’impression que sa tête allait exploser. Cette découverte était, à ses yeux, tellement cruciale que ses réactions en étaient devenues démesurés.

- Pardonnez-moi votre majesté, de… Vous avoir sauté dessus, ainsi. Je n’ai pas réfléchi… Je répète que c’est une découverte des plus… Wouah !

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