Les quartiers d'un capitaine [pv Aryane]

Un homme dans une armure des plus abimée, traverse la cours des Armures. Sa cape rouge flottant derrière lui lors de sa marche, les Armures se mettant droit devant sa personne, l'on imagine bien qu'il appartient à une classe plus élevé. Entrant dans ses quartiers pour se dévêtir de son armure, bien abimée par les combats récent, ainsi que de se faire des soins. Des femmes l'attendaient dans cette petite pièce lui servant de logement. Une seule fenêtre pour éclairage le jour, quelques chandelle pour la nuit y étaient disposé sur une petite table servant de bureau. Macsen ne se compliquait pas la vie avec des affaires trop « riche », il visait au plus simple. Sa vie n'étant pas dans ses quartiers, mais bel et bien en combat, pour la couronne et le gouvernement actuel.

- Doucement sur le bras, il n'est pas intact ! Dit-il à l'une d'elles qui retirait doucement son canon d'avant bras gauche.

Lorsque l'armure fut retirée à moitié, une autre femme fit son apparition pour faire les soins nécessaire.

- Enfin de vrai soins. Dit-il avec un sourire. Mieux que sur le chant de bataille !

Un homme qui appartenait au corps des armure, fit son entré.

- Une femme se présentant comme une gouvernante du nom d'Aryane souhaiterait vous voir ! Dit-il directement, sans même respecter les uses en fonction.

Macsen lui jeta un regard noir pour lui faire comprendre qu'on n'entre pas de la sorte ni qu'on annonce un membre du gouvernement de la sorte.

- Faites la entrée, ne perdons pas de temps ! Dit-il avec un ton d'ordre.

Les femmes l'arrangèrent pour qu'il soit plus présentable devant une gouvernante. Il a beau être du corps des Armures, cela n'empêche pas qu'il doit mal se comporter.

Aujourd'hui Aryane se rendait au quartier des Armures. Elle devait parler avec le capitaine de ceux-ci.
Il venait juste de rentrer d'une mission particulièrement éprouvante selon les dires de son espions. Mais Aryane n'en avait cure. Il y avait urgence. Des bandits de tout genres attaquaient de plus en plus les habitants de la ville. Et meme si les Perles n'était que peu touché grace à leur gardes du corps les Cendres étaient touchés. Personne ne pensait que ça avait de l'importance mais, aux yeux de la Princesse, ça en avait.

Arrivée dans le quartier elle avisa un homme portant l'Armure et l'interpella :

- Bonjour monsieur pourriez-vous me mener jusqu'a votre capitaine s'il vous plaît ? Pour votre information je suis la Princesse Aryane, Gouvernante et c'est urgent.

L'Homme haussa a peine un sourcil en entendant cette déclaration et invita Aryane a le suivre. Devant la porte d'un appartement, il lui fit signe d'attendre et ouvrit la porte pour annoncer Aryane.

Puis ressortant il tint la porte à la Princesse qui entra.
L'appartement n'était pas trèsluxueux mais il suffisait.

-Bonjour, je suis la Princesse Aryane. Je suis ici pour vous parler du fléaut de cette ville : les bandits.

Le capitaine eut un sourire en voyant que la princesse elle même venait à lui, son sourire s’effaça lorsqu'il entendit parler des bandits. Mais que fait maréchaussée ? Celle qui est censée s'en occuper. Avant d’aller plus loin dans la discutions, Marcsen se leva de sa chaise, où celui-ci était assit durant ses soins.

- J'en suis ravit que vous veniez en personne. Veillez excusez le soldat qui vous a annoncé, certains croient que leur uniforme leur permet tout.

Il s’éloigna un peu et nota quelques instruction pour les femmes qui étaient encore dans la pièce, celles-ci devaient allez chercher ses effets chez le forgeron, en particulier une nouvelle armure. La précédente devenue qu'un vulgaire tas de ferraille.

- Pour ce qu'il s'agit des bandits, la maréchaussée ne suffit plus à les contenir ? A moins qu'ils en sont incompétent. Dit-il une fois la porte refermée derrière la dernière.

En attendant la réponse de la princesse, celui-ci alla se vêtir d'une simple chemise de lin et d'une simple braie sans la moindre prétention. Il est plus de ceux qui se baladent en armure constamment, toujours prêt à partir en combat.

- J'en suis ravit que vous veniez en personne. Veillez excusez le soldat qui vous a annoncé, certains croient que leur uniforme leur permet tout.

De quoi parlait-il ? Ce soldat n'avait rien fait ! Enfin...
Il y avait plus urgent que de parler des manières d'un soldats.

Macsen donna quelques instructions aux femmes qui devaient être ses servantes et en revint à notre problème une fois la dernière sortie.

- Pour ce qu'il s'agit des bandits, la maréchaussée ne suffit plus à les contenir ? A moins qu'ils en sont incompétent.

- Personne n'a vu d'hommes pour combattre ces bandits. Etes vous sur qu'il y est quelqu'un chargé de cette affaire ? Les bandits sont beaucoup et, depuis peu ils forment des bandes. Ils sont mieux organisé que ce qu'on a pu voir jusqu'a maintenant. Il faut un chef qui sache son métier, et pas mal d'hommes je pense. Et si vous envoyer quelqu'un en mission je veux avoir accès au rapport. Je voudrai suivre cette affaires très près, vous comprenez. C'est pour ça que je suis venue en personne vous demander si il y avait quelqu'un de sérieux sur l'affaire. J'ai confiance en vous Capitaine Lidaw. Mon père ne me dit que du bien de vous.

Le capitaine écouta attentivement les mots de la princesse, cela ne lui plu guère d'apprendre qu'il n'y avait aucun garde dans les rues. Il retourna à son bureau y rédiger des écris.

- Je vais faire envoyer des ordres sur le champ, d'ici une heure ou deux vous verrez nos hommes arpenter les rues !

Dit-il en rédigeant ses ordres, avant de les donner au garde devant la porte. Il ordonna à celui-ci de donner ses ordres au premier sergent qu'il croiserait.

Macsen se dit qu'un sergent et son unité devrais suffire, sinon il en enverrait d'autre en renfort.

- Y a-t-il autre chose que je puis faire pour vous princesse ? Lui demanda-t-il une fois les ordres envoyés.

- Je vais faire envoyer des ordres sur le champ, d'ici une heure ou deux vous verrez nos hommes arpenter les rues !
Le capitaine écrivit ses ordres et les donna au garde qui était devant la porte en lui donnant des instructions.
- Y a-t-il autre chose que je puis faire pour vous princesse ? Lui demanda-t-il une fois les ordres envoyés.
Bonne question. D'après ce qu'il m'avait dit je n'avait pas eut la promesse qu'il enverrai des troupes en dehors de la ville. Hors il fallait arreter ces barbares.
- C'est bien de mettre des gardes dans les rues mais... Mais les barbares sont hors de la ville. Et meme si vous augmentez les défense de la ville, ce que je vous en suis très reconnaissantes peut être qu'il faut organiser des patrouilles hors de la ville. Non ?
Il m'en coûtait de donner des ordres a un capitaine qui en sache plus que moi sur l'art de la guerre. Je devais l’embêter avec mes demandes. mais je voulais être sur que mes sujets soient en sécurité. Et que la menace planant sur la ville soit éteinte.

Spoiler:

-Roxanna, Roxanna, Roxanna, Roxanna, tu sais pas la nouvelle ?
-A par que tu me hurle dans les oreilles alors que je dors, non.
-Devine qui est venue en personne voir le patron.
-Mes fesses après une semaine de diarée ?
-Hahaha, très drôle Roxanna, vraiment, allez sois un peu sérieuse.
-Hum… Une miche de pain en colère qu’on les un peu croquer.
-J’abandonne… La Princesse Aryane !
-Wouahhhh… Je peu dormir maintenant.
-Tu te rend donc compte de rien ! La Princesse, bon dieux ! La Princesse.
-Une femme comme une autre.
-Si tu le dis… A ton plus grand désespoir tu vas devoirs te lever, on va peut-être partir en mission.
-Enfer et damnation ! Dégage de ma chambre et au galop, avant que je t’arrache les plumes !

Avec un petite sourire, il partit lentement vers ma porte en… Prenant ma couette par la même occasion. Folle de rage, je lui lançai une dague qui ce trouvait à ma porter. Il rit de plus belle, avant de venir me faire des chatouilles pour me lever. Enerver, je miaulais comme un chat enragés, jouant des pieds et des poings pour l’enlever. Il riait à chaque nouvelle griffure que je lui faisais. Comme il était insupportable cet homme, pourquoi dieux me lavait-il mis dans les pattes sérieusement ? Je te déteste macaque céleste ! C’était tellement insupportable d’être levé comme ça. N’avait-il donc rien d’autre à faire ? D’un coup, il ce retira et partit en courant avant que je puisse l’attraper. Ce diablotin me connaissait bien trop à présent. Lentement, en baillant et en m’étirant de plus en plus avant de me lever d’un bond. Joshua avait raison pour une chose, que faisait la princesse ici ? Surtout toute seule. C’était tellement pas habituel. Curiosité pourquoi fais-tu partis de mon caractère ? Pourquoi ne me laisse tu pas un peu en paix ? Rien qu’un tout petit peu pour que je puisse dormir.

Ô hisse ! Mon débardeur de mis. Ah ! Et maintenant fallait mettre un pantalon. Non ! Injustice ! Pourquoi me torturez-vous chaque matin ? Que vous ais-je bien fait pour mérité tout cela ? Mais surtout qu’elle était l’imbécile qui avait inventer ces fichus vêtements ? Pourquoi ? Mais pour que je l’attrape et le tue une bonne fois pour toute !
Après avoir encore ronchonner quelque minute sur mon triste sort, je sortis lentement de ma chambre. Comme c’était durs… Trop durs. Bien-sûr une fois hors de ma chambre, Joshua revint me sauter dessus avec joie. Il était fière de lui le chenapan, il était tout le temps fière de lui de toute manière.

-Dis moi où on doit allez au lieu de me sauter dessus comme un caniche qui voit son maître.
-Dis moi, est-ce que sa t’arrivera un jour d’être de bonne humeur une fois sortis du lit ?
-Non.
-D’accord je vois, heureusement que je t’aime bien toi, je suis sûrement le seul à t’apprécier, les autres détestent ta mauvaise humeur. Que ferais-tu sans moi ? Tu serais une pauvre femme sans compagnie. Je suis pour ainsi dire comme un marie fidèle, quoi que la je ne suis que ton meilleur ami. Et puis, qui mangerait avec toi si je n’étais pas là, qui…
-STOP ! Tu parle trop ! Tais-toi bon dieux et dit moi plutôt où nous devons allez.
-Dans la salle d’entrainement à c’que j’ai compris. Mais tu connais Eric avec ces fichus indication souvent imprécise, j’ai du comprendre moi-même ce qui a était très durs. Est-ce que sa t’arrivera un jour de me remer…

La suite ? Je ne me souviens plus. C’est toujours comme ça avec lui. A un moment ou un autre, je décroche. C’est bien trop durs de le suivre. Il parle trop. Nous déambulâmes dans les couloirs en direction de la salle d’entrainement. Peut-être qu’une nouvelle mission nous attendait, c’était peut-être pour parler de ça que la princesse était venu. Qui sait ? Enfin arrivé, nous nous mîmes en ligne, attendant impatiemment les ordres. Ils nous firent attendre, comme toujours, sûrement pour attiser notre curiosité. Stupide, enfin à mon avis. J’avais les jambes en coton à force d’attendre et au lieu d’attiser ma curiosité, ils me faisaient perdre patience. Je sais, je sais, je fais ma maligne, mais prenait sa sur le conte du faite que l’on ma réveillé. Oui, règle numéro une avec moi, ne jamais me réveiller le matin (XD).

Enfin, ils ce ramenèrent et, à la joie de tous, avec la princesse. C’est vrais que c’était classe de pouvoir la voir en chair et en os. Je souris même, mettant un coup de coude à Joshua qui était à mes côtés souriant comme un bêta.

Envoyer des hommes en dehors de la ville. Arrêter les barbares. Le capitaine ne pouvait envoyer ainsi des hommes errer en dehors de la ville. Il serait trop difficile de les rappeler en cas de besoin, mais le capitaine n'était pas du genre stupide, il avait déjà une idée sur ce qu'il ferait.

- Je ne peu envoyez des patrouilles comme ça ! Nous risquerions de perdre des hommes sans le savoir. Il est très difficile de garder contact avec l’extérieur. Par contre, je peu faire interdire toutes sortie de la ville sans escorte.

Tendis qu'il retournait faire des écris, les servantes revinrent avec sa commande, une armure neuve était revenue. Macsen donna les nouveaux ordres à l'une d'elle afin qu'elle les mène à un autre gradé. Car là, il devait faire sonner le rassemblement.

- Voilà, je vais faire rassembler les soldats qui n'ont pas encore reçus d'ordre. Avez-vous d'autre demande ? Ou des ordres particulier ? Demanda t-il à la princesse.

Macsen s'approchait des servantes afin de se faire revêtir sa nouvelle armure. A peine retiré une armure qu'il s'en fit remettre une autre ! Ainsi l'armure devient sa seconde peau, il est parfaitement a l'aise dedans, depuis des années que vie ainsi.

Spoiler:

- Je ne peu envoyez des patrouilles comme ça ! Nous risquerions de perdre des hommes sans le savoir. Il est très difficile de garder contact avec l’extérieur. Par contre, je peu faire interdire toutes sortie de la ville sans escorte.

Ses mots étaient juste. Mais Aryane aurait préféré éradiquer tous ces barbares... Peut-être était-elle trop sanguinaire ? Elle qui ne maniait pas l'épée ? Le Capitaine leva la tête une fois ses écrits terminés.

- Voilà, je vais faire rassembler les soldats qui n'ont pas encore reçus d'ordre. Avez-vous d'autre demande ? Ou des ordres particulier ?

*Je voudrais que vous les éradiquiez. Mon frère vas bientôt partir hors de ces murs et je voudrais qu'il soit en sécurité. Et si l'escorte se fait prendre au piège ?* Voilà les mots qu'elle voulait dire au Capitaine même si elle savait qu'il avait raison et qu'elle avait une nouvelle fois tord. Elle était impatiente d'atteindre la sagesse de son père. Mais la sagesse s'attendait-elle ?

- Je vous remercie de la prise en compte de ma requête Capitaine. Je ne vais pas vous embeter plus longtemps.

(Soit tu m'accompagnes Macsen, soit je finit le Rp en descendant dans la cour et Roxanna mettre son point final)