Prénom: Wendola
Nom de Famille: Lee'San
Age: 17 ans
De quel côté vous trouvez vous ? Cendre
Je sollicite le droit et l'honneur de revêtir... la tenue de servante

J'ai de grands yeux gris que l'on dit toujours triste et des cheveux de la même couleur que les première neiges, lorsqu'elles sont tombées dans la nuit et que personne n'a encore eu le temps de les piétiner.
J'ai une frange qui m'arrive quasiment à hauteur des yeux mais mes cheveux sont plutôt courts, j'ai juste une mèche plus longue, de chaque côté du crâne, qui me tombent en ondulant le long de ma poitrine qui est plutôt normale.
Je suis de taille et de poids moyens, ni trop grande, ni trop petite, ni trop grosse, ni trop petite (j'ai, en gros, tout se qu'il faut, là où il faut, sans pour autant être anorexique, une planche à repasser, un gros thon ou boulimique).
J'aime les vêtements noirs et rouges.

Je suis quelqu'un de calme, qui fait le travail qu'on lui demande sans poser de question.
Je suis fidèle aux gens que j'aime et je suis prête à n'importe quoi, pour eux, même à me battre.
Je suis curieuse, simple, sociable et souriante, presque insouciante. J'ai l'air bien dans ma peau. Mais e n'est quand apparence, que j'ai l'air calme et gentille car, à l'intérieur, je bouillonne de rage et de colère. Je bouillonne d'une rage et d'une colère qui sont prêtes à exploser n'importe quand et que j'a dû mal à contenir. Personne ne sait, quad je vais exploser, pas même moi. Et quand on me chercher vraiment, moi ou mes proches, je peux utiliser autre chose que mes poings, je suis capable de ne pas réagir tout de suite et de me venger plus tard en faisant un coup encore plus vache que ce qu'on m'a fait.

Mon histoire commence par un meurtre.
Mon histoire commence avec du sang sur les mains.
Mon histoire commence mal, très mal.
Mon histoire commence par le plus grand malheur de mon père car, si je n'étais pas née, il ne m'aurait pas abandonné, je ne saurais pas sans famille, aujourd'hui.

Je suis l'assassin de ma propre mère et, de se fait, j'ai accélérer le vieillissement de mon père et l'ai fait fuir. J'ai donc également tué mon père. J'ai tué ou fait fuir toute la famille que j'avais.

Je suis née un jour d'orage. Ma mère est décédée en couches. Mon père m'a donc élevée seul et me disait que je n'avais pas à culpabiliser de la mort de ma mère, que je n'y étais pour rien, mais, dans ses yeux, je voyais bien qu'il aurait préféré que je ne vienne jamais au monde ou que se soit plutôt moi qui soit décédée le jour de ma naissance, au lieu de la femme qu'il aimait.

Il avait à peine trente ans mais on lui en donnait au moins le double. Il me disais que c'était parce que son "travaille" - mon père était voleur - était difficile et que les gens vieillissaient plus vite mais moi, je sais bien que c'est à cause du chagrin que je lui cause car, en plus d'être une meurtrière, je suis un clone; le clone de ma mère.

Un jour, arriva se qui devait arriver: mal grès toutes ses belles paroles qui disaient qu'il m'aimait, que je n'y était pour rien dans la mort de ma mère, il m'abandonna. Il m'emmena au palais où il avait une connaissance et il parti sans même se retourner, son même me dire au revoir, sans même me dire quand est-ce que nous allions nous revoir et où est-ce qu'il allait. Je comprendrais, plus tard, bien plus tard, qu'il m'avait abandonné car il voulait que j'ai une autre vie que celle d'une voleuse: il espérait qu'au palais, j'ai au moins une vie de fille de cuisine, il ne s'attendait pas à se que sa connaissance, Nilly, ferait de moi une servante soumise à la famille royale et qui savait lire et écrire.

Lorsque je suis arrivée au palais, j'avais cinq ans.
En cuisine, qui avait besoin de l'aide d'une gamine chouineuse de cinq ans qui allait les freiner?
Personne.    
Nilly avait son travail de servante et essayait de négocier avec le roi pour que je puisse rester et elle ne pouvait donc pas s'occuper beaucoup de moi et personne ne le voulait. J'en souffrais.
Ma première crise de rage intérieur eut lieu un soir où la journée avait été difficile pour tout le monde: je m'étais mise à hurler des cris aigus, à me rouler partir et à casser tout se que j'arrivais à attraper. Se fut Nilly qui réussit à me calmer. Nilly qui comprit que j'avais besoin qu'on s'occupe de moi, qu'on même, qu'on m'explique pourquoi mon père m'avait laissé ici, seule, au milieu de tous ses gens dont j'ignorais tout et qui ignoraient tout de moi mais qui se permettais de me juger.

Nilly était une servante d'une cinquantaine d'année. Elle a toujours été servante et est donc au courant de tout, ou de presque tout, se qui se passe dans le palais et en connais chaque recoins.
Elle n'avait jamais eut d'enfants et, dès lors qu'elle me prit sous son aile, elle commença à me considérer comme la fille qu'elle n'avait jamais eu et moi, comme la mère que je ne connaissais pas.  
Elle m'apprit à lire et à écrire. Elle m'apprit aussi le métier de servante, ainsi qu'à refaire confiance aux autres et à aimer. Elle m'a apprit que je n'étais pas la seule à souffrir, que, partout, des gens mourraient ou disparaissaient, en laissant, derrière eux, femme, enfants, parents et amis. Elle m'a réapprit à sourire et à accepter qu'on puisse m'aimer.
Mal grès tous ses bons efforts, il y avait toujours une lueur triste, dans mes yeux, qui disait que, mal grès que j'étais heureuse, au palais, ma famille me manquait plus que tout.

Pendant dix ans, au près de Nilly, au palais, au service du roi et de sa famille, je vécu les plus belles années de ma vie, mal grès les attaques rebelles: j'avais des amis, j'avais de la nourriture dans mon assiette, de l'eau dans mon verre et un travail.
Mais comme à chaque bonheur qui semble trop parfait, il fallait qu'un malheur arrive: Nilly, ma mère d'adoption chérie, mourut lorsque j'avais quinze ans.
Il me fallut une bonne semaine pour me remettre de son décès: une personne de plus de ma famille m'avait lâché, une personne de plus. Mais je suis une battante, je m'en suis remise et je continue à avancer car je ne suis plus seule, Emily et Nanza, mes meilleurs amis, est toujours à mes côtés, depuis six ans, et je sais que je peux conter sur eux pour me gifler lorsque je me laisse aller.
Maintenant, la seule chose que je veux, c'est vivre une vie "normale", sans perdre trop tôt les gens qui me sont chers.

As-tu lu le règlement ?: Validé par la demoiselle couleur  
As-tu un parrain ? Si non, comment as-tu découvert le forum ? Non, j'ai découvert le fow' grâce à une fiche de partenariat sur un autre fow'.
As-tu lu le livre "Les âmes croisées" de Pierre Bottero ? Oui
Nom: Intisar ou Faramir
Age: bientôt 17 ans
Profession, études ? : Je suis en recherche d'apprentissage mais, en attendant, je fais divers stages de trois à cinq jours et, deux jours par semaine, je suis des cours dans une école.
Loisirs : Lire, écrire, écouter de la musique, faire du cirque
Quelque chose à rajouter ? /