Partie rpg Nom de personnage : Elityel Muirenval
(se prononce Élissiel)
Age : 18
Fonction: Cendre (Serveuse dans une taverne)
Description physique : Sera intégré dans l'histoire.
Caractère : La jeune femme a un caractère dur en apparence. Vu tout ce qui lui est arriver (voir l'histoire), elle s'est composé ce qu'elle appelle un ''masque d'impassibilité''. C'est à dire que même si quelque chose l'affecte, elle ne le montre pas. Répondant souvent de façon cinglante, parfois même méchante, elle trouve toujours quoi répondre. Elle est habitée par la haine des perles, mais principalement les gouverneurs, les mages et SURTOUT les Armure (vous comprendrez dans l'histoire). Pourtant, sous cette carapace vicieuse, elle est toujours l'enfant de sa jeunesse perdue. Tantôt émerveillé par un rien, tantôt réagissant comme un enfant... Elle est serviable envers les autres cendres, mais rarement envers les perles. Elle préfère avoir mal que de recourir aux services d'un guérisseur.
Histoire
(au moins 10 lignes) : « Tout est arrivé si vite.
Ma vie a basculée, je suis tombée et une importante partie de moi s’est perdue à jamais. Cette partie que j’ai perdue est surement la plus cruciale dans la vie d’un individu… Cette partie est l’innocence, la jeunesse. Je fus précipitée dans le monde adulte bien plus tôt et bien plus abjectement que prévu…»
L’écriture devint plus chevrotante et moins bien définie, comme si le simple fait d’écrire ces mots fut une torture pour l’auteur
« Mes parents étaient… »
On pouvait facilement remarquer la marque épaisse et saccadée laissée par une plume qui casse sous le poids exagéré que l’écrivaine avait mis sur l’instrument d’écriture.
Mes parents étaient.
Étaient.
Elle avait bloqué après ces trois simples mots, comme si, à eux seuls, ils contenaient toute la souffrance et toute la colère ressentie lors de l’écriture de cette formulation…
«… Mes parents étaient des scribes. Henri et Anna Muirenval. C’est grâce à eux que j’ai pu apprendre à lire, à écrire et à compter. De braves et fiers gens qui furent remplacés par de vulgaires machines. Les autres Robes? Ils n’ont rien fait pour empêcher l’imprimerie de détrôner les scribes. Ma famille et moi furent donc relayés au rang de Cendre et les portes des institutions des Perles me furent fermées. Je perdu mon titre d’aspirante et je déménageai dans la ville Cendre. Ce n’est que le début de cette descente aux enfers qu’est ma vie. Les autres Cendres ne nous considéraient même pas comme étant totalement des leurs. Nous étions toujours des insoucieux foutue Perle! Je passai donc le reste de l’année seule, avec ma famille. Je me disais que ça ne pouvait pas être pire… Je me trompais! »
Par le léger changement de la couleur de l’encre et par le changement de paragraphe, il était possible de déterminer que l’auteur avait pris une pause et que la partie qui suivait était fraichement écrite.
« L’esprit révolutionnaire et les mauvaises conditions de vie poussèrent mes parents dans la rébellion… où ils furent sauvagement massacrés par les Armures. Ces soi-disant bienfaiteurs se sont attaqués en armes et armures aux manifestants. Incluant mes parents qui eux n’était ni violent, ni armé. Ces chiens en conserve ont égorgé cruellement des hommes et des femmes sans défense, simplement parce que les gouverneurs le leur avait demandé… »
Le coin de la page était légèrement trempe et gondoler, car une larme était venu y mourir.
«Je fus détruite par la mort de mes parents et cela me hante encore aujourd’hui. Depuis, je vie dans une cabane commune. Je suis chanceuse les jours ou je réussi à y avoir un lit… sinon, je dors au sol. Je viens de me trouver un nouvel emploi dans une taverne non loin… j’aurai juste assez de quoi manger ce mois-ci…»
Les mots qui suivaient étaient plus foncés que les autres, comme pour les mettre en évidence…
«Les Perles et les Armures ont détruit ma vie. Je me vengerai.
J’étais une aspirante scribe.
Je suis une Cendre.
Je suis une femme.
Une femme en colère…»
Elityel déposa sa plume et referma son journal. Elle tassa ses cheveux mi- longs blonds de ses yeux et essuya ces derniers. Les larmes s’évanouirent du brun clair de ses yeux, lui permettant de mieux admirer l’ancien sceau de sa famille qui ornait son journal. Écrire lui faisait du bien, cela la libérait du monde extérieur, cela la reposait... Elle se leva du haut de ses 164 centimètres, pris son maigre sac à dos et y enfouit le livre et la plume. Elle déposa le sac sur ses épaules non larges. Son corps, bien modelé, était loin d’être laid, sans être pour autant parfait. Elle possédait toute les courbes qui plaisaient généralement aux hommes, mais s’attachait difficilement à ces derniers… Elle n’avait ni confiance aux Perles, ni aux Cendres. Prises dans le milieu de ces deux ‘’race’’, elle ne savait que faire… Si une Armure avait le malheur de croiser son chemin…
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